GTA : les 5 pièges à éviter dans votre projet de gestion des temps

Un projet de gestion des temps et des activités (GTA) ne s’improvise pas. Mal préparé, il peut entraîner des résistances, des surcoûts ou des outils mal utilisés. Pour garantir le succès de votre déploiement, voici les principaux pièges à éviter.

1. Ne pas impliquer les utilisateurs finaux

RH, managers, salariés… tous sont concernés par la GTA. Ne pas les associer dès le départ, c’est risquer un manque d’adhésion, des incompréhensions et une faible appropriation du nouvel outil. Prévoyez des ateliers utilisateurs, des phases pilotes et des retours terrain.

2. Négliger l’analyse des besoins réels

Chaque entreprise a ses propres règles de gestion du temps. Implémenter un outil “standard” sans analyser en amont les spécificités métier, les cycles horaires ou les contraintes légales internes peut conduire à des écarts majeurs. L’audit initial est indispensable.

3. Sous-estimer la formation et l’accompagnement

Un bon logiciel ne suffit pas. Sans formation adaptée ni support au démarrage, les utilisateurs risquent de mal l’utiliser ou de le contourner. Un plan de formation par profil, couplé à un accompagnement post-déploiement, est la clé d’un usage durable.

4. Oublier l’évolutivité de la solution

Votre organisation va évoluer. Assurez-vous que l’outil choisi est modulaire et évolutif : ajout de fonctionnalités, adaptation à de nouveaux sites, changements réglementaires… Évitez les solutions figées ou dépendantes de développements lourds.

5. Isoler la GTA des autres outils RH

Une GTA non connectée à la paie, au SIRH ou à la gestion des plannings génère des ruptures de flux, des erreurs et des tâches manuelles. L’intégration technique doit faire partie des critères de choix dès le départ.


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